Trente-deux

16 novembre 2008

Me voilà, là, à cinq heures moins dix minutes, le matin, donc, à rédiger un article ici.

N'importe quoi, en outre.

Mais je le fais quand même. Chuis un ouf dans ma teuté, c'est tout. Ah ouais.

J'ai vu quelques films ces derniers temps. Quelques films qui sont sur une liste que deux amis m'ont fait un soir, en rentrant de Paris, dans le Noctilien. Je pourrais vous la faire passer. Je vois d'ici la fin de mon article si je suis motivé pour lancer mon scanner. Ca y est, je n'ai plus la force d'en parler. Meme en essayant vraiment, je ne trouve pas les mots juste, je cherche, et ma mémoire flanche.Plus j'essaie d'en parler, plus les sentiments que m'ont évoqués ces films s'échappent, et disparaissent. Esprit de synthèse, tu n'est pas bon ce soir, et généralement. Un besoin de voir deux ou trois fois un film avant d'en parler, ce n'est pas très simple. Surtout à mon rythme de vision. Un article pour rien, en fait. Je vous laisse avec un peu de musique. Et des réminiscences de gateau au chocolat nappé de sa crème anglaise (avec de la vraie vanille), de fluide glacial, de scénario alambiqués, et d'envie de bonne bière. Je dois développer, tapez-moi si je le dis encore, et que je ne le fais pas. Cinq heures, Paris s'eveille, et moi je met en route mon scan. J'ai commencé à encadrer quelques photos. Ca rends pas mal du tout, je pense que je vais me mettre à le faire plus souvent. Encore un truc que je ferais jamais, en fait.

Fichier/Automatisation/Photomerge

Passé à Gibert Jeune. Je pensais pas que je trouverais autant de livre à lire, en si peu de temps. J'ai trouvé le tome 4 du Clan des Otori, écrit par Lian Hearn. En occasion. Trouvé aussi, un bel ouvrage de Depardon et Guillebaud, La porte des Larmes. Il faut que j'ajoute à cela, Histoires douces amères de Maupassant, ainsi qu'un livre de Kérouac. Mais avant ça, j'ai un gros bouquin a avaler. Les 7 de Spandau.

Cinq heures douze, voilà Paris bel et bien reveillé, et moi qui scanne, en cherchant un sujet interessant à aborder.

P(hotographie)P(ersonalités)P(olitique), de Depardon. Oui je suis dans ma période Depardon. Mille pardons, même. Tout ces films, sauf ceux déjà vus, mais surtout, toutes ces photos. L'ensemble de son oeuvre. Je me fais une retrospective Depardon, en fait. Je vous ferez partager, pas de jaloux!